Cyberpunk 2077 : le métro est incroyablement lent, voici pourquoi
À l’occasion de la dernière mise à jour de Cyberpunk 2077, CD Projekt Red a ajouté la possibilité d’arpenter Night City en métro. Toutefois, ce nouveau système de transport serait bien trop lent.
Près de trois ans après la sortie de Cyberpunk 2077, CD Projekt Red continue à soutenir son RPG futuriste. Le FPS, qui est désormais tout à fait jouable, vient de bénéficier du DLC payant Phantom Liberty, qui pourrait bien faire chauffer votre PC, accompagné par la mise à jour 2.0. Celle-ci ajoute, entre autres, un nouveau système de métro entièrement fonctionnel. Celui-ci permet de découvrir Night City sous un autre angle, mais affiche une vitesse étonnamment lente.
Cyberpunk 2077 propose désormais cinq lignes ferroviaires de la Night City Area Rapid Transit (NCART) desservant 19 stations. Si chacune d’entre elles fait office de point de voyage rapide, le joueur peut également voyager en temps réel, ce qui permet de regarder les décors de Night City paisiblement.
Cyberpunk 2077 : CD Projekt Red respecte l’œuvre originale
Cependant, il semblerait que le métro circule à une vitesse moyenne de 70 km/h, ce qui peut paraître extrêmement lent pour un moyen de transport futuriste. Pour rappel, de nos jours, le métro londonien peut atteindre une vitesse de 100 km/h, tandis que le métro de Guangzhou en Chine peut monter jusqu’à 160 km/h en vitesse de pointe.
Pourtant, il semblerait que CD Projekt Red ait respecté le premier livre Cyberpunk, publié en 1988. En effet, celui-ci annonçait déjà que, malgré des évolutions technologiques considérables, les systèmes de transport en commun resteraient lents et bondés.
On peut ainsi y lire la note suivante : “Contrairement aux attentes, l’an 2000 n’a pas donné lieu à de nouveaux développements stupéfiants dans le domaine des transports. Des années de conflits économiques et de troubles civils ont découragé la recherche de nouveaux moyens de transport – en fait, l’acte même de voyager est devenu très restreint. Attendez-vous à ce que le monde de 2013 ressemble à celui du XXe siècle : un réseau d’autoroutes bondées, de trains bondés et d’aéroports bondés.“
Source : polygon