God of War 2 Ragnarök sera le dernier volet de la mythologie nordique, voici pourquoi
Sauf nouveau report, God of War: Ragnarök déboulera en 2022 sur PS4 et PS5. Nous y retrouverons Kratos, accompagné de son fils Atreus. Il s’agira en tout cas de la seconde et dernière émanation de la mythologie nordique dans la franchise, comme nous l’explique le producteur du titre Cory Barlog.
Le développement d’un jeu peut être émaillé de contretemps. Et pour peaufiner un titre comme il se doit, les studios doivent parfois reporter sa sortie sine die. Dernièrement, Santa Monica Studio a décidé de décaler le lancement de God of War: Ragnarök à 2022. L’objectif étant d’offrir « une expérience de très haute qualité » aux joueurs. Après s’être attaqué en profondeur à la mythologie grecque, le studio s’est focalisé sur Midgard. God of War version mythologie nordique est ainsi sorti en 2018.
Et nous attendons avec impatience l’arrivée du second opus intitulé God of War: Ragnarök qui s’est dévoilé tout récemment dans une première bande-annonce. Comme l’a confié le producteur Cory Barlog, interrogé sur la chaîne YouTube Kaptain Kuba, cet opus refermera la saga nordique de la franchise.
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God of War Ragnarök : conclure l’intrigue pour éviter de noyer les joueurs
Et pour cause, « le premier God of War a nécessité cinq ans de développement (…) Pour le second, nous devrions mettre autant de temps. Et si on décide de pondre un autre jeu sur le même modèle, on arrivera à un cycle de quinze ans pour raconter une seule et unique histoire » Pour le producteur, c’est tout bonnement « beaucoup trop long ».
D’où la décision d’achever l’histoire à l’issue du second opus. Car même si le potentiel narratif de la relation entre Kratos et Atreus est très grand, insister avec un troisième épisode aurait pu perdre les joueurs en les noyant dans une intrigue trop allongée, trop compliquée. « La complexité de cette relation, c’est un peu comme des ondulations dans un étang : nous aurions pu voguer jusqu’à l’océan, mais est-ce vraiment utile ? Si l’on s’éloigne trop, on peut perdre l’histoire de vue », conclut le producteur, comparaison poétique à l’appui.