Meta : Mark Zuckerberg présente son nouveau metaverse, le résultat est bluffant
Jusqu’à présent, le metaverse de Meta peinait à convaincre le public. Il semblerait pourtant que Mark Zuckerberg ait pris en compte les critiques en améliorant considérablement sa technologie.
Bien que le lancement d’Horizon World, le metaverse de Meta, ait connu un succès mitigé, l’entreprise de Mark Zuckerberg n’a jamais baissé les bras. Meta a ajouté la possibilité de poster des stories d’Horizon World sur Instagram et vous donne la possibilité d’utiliser un chat textuel dans Horizon World VR. Meta autorise même les mineurs à accéder à son metaverse.
Mais cette fois, l’amélioration est de taille. En effet, le podcasteur Lex Fridman a publié ce qu’il appelle la “première interview dans le Metaverse“. Celui-ci s’est entretenu avec le patron de Meta, Mark Zuckerberg, en utilisant des casques VR. Les deux hommes portent des casques Quest Pro, qui affichent leurs avatars dans le Metaverse, chacun étant un portrait en 3D des épaules et du buste sur un fond noir.
Meta : cette présentation du metaverse a nécessité une technologie de pointe
Ces clones photoréalistes, connus sous le nom d’avatars Codec, sont le résultat d’un travail acharné de la part de Meta. Il semblerait ainsi que ces efforts aient porté leurs fruits, Lex Fridman déclarant : “On a l’impression d’être dans la même pièce. C’est vraiment la chose la plus incroyable que j’aie jamais vue”.
Les avatars sont créés à partir de scans approfondis du visage de l’utilisateur. Lex Fridman affirme : “Il suffit de prendre son téléphone, de l’agiter devant son visage pendant quelques minutes, de prononcer quelques phrases, de faire un certain nombre d’expressions… et de produire quelque chose qui soit de la qualité de ce que nous avons actuellement“.
Le casque détecte ensuite les expressions faciales de l’utilisateur et les associe à l’avatar 3D en temps réel. Toutefois, il est important de noter que les avatars présentés ici ont été créés à l’aide d’un balayage de pointe, d’une durée de plusieurs heures, comprenant des centaines de caméras. En d’autres termes, l’utilisateur moyen n’aura pas accès à une telle technologie, et le résultat final pourrait être bien moins qualitatif.
Source : futurism