Mort de Carrie Fisher : l’autopsie révèle la présence de drogues dures
La mort de Carrie Fisher est-elle liée aux drogues dures ? Les conclusions de l’autopsie du corps de l’actrice qui jouait la princesse Leia Organa dans Star Wars ont révélé la présence de cocaïne, méthadone, MDMA et héroïne dans son sang. Le médecin légiste estime ainsi que l’interprète est décédée des suites d’apnée du sommeil “et d’autres facteurs indéterminés”.
Un rapport de médecine légale révélé vendredi suggère que des drogues dures sont peut-être impliquées dans la mort de Carrie Fisher. L’actrice qui a incarné la Princesse Leia Organa sur grand écran avait des niveaux d’alcool, d’opiacés et d’autres drogues dans le sang élevés selon l’autopsie. Ils ont ainsi retrouvé la présence d’héroïne, de cocaïne, de MDMA. Mais relèvent que “les doses et le moment des prises” n’ont pas pu être déterminés.
Carrie Fisher : présence de drogues dures dans le sang de l’actrice
Empêchant de définir le rôle exact joué par les drogues dans le décès. Selon le rapport, l’actrice aurait en revanche pris de la cocaïne dans les trois jours précédant sa mort. La cause officielle du décès est d’ailleurs un trouble respiratoire, l’apnée du sommeil. Ils en concluent donc que sa mort a pu également être causée par “d’autres facteurs indéterminés – y compris une maladie cardiaque” et “de multiples prises de drogues”.
Dans la foulée de ces révélations, sa fille Billie Lourd a estimé que sa mère “s’est battue contre l’addiction aux drogues et la maladie mentale toute sa vie”. Son frère Todd Fisher a également réagi en expliquant que ce comportement et le trouble bipolaire dont elle était atteinte “ont lentement mais sûrement mis sa santé en danger pendant de nombreuses années”.
Carrie Fisher avait été hospitalisée d’urgence le 23 décembre dernier des suites d’un malaise lors d’un vol en provenance de Londres. Elle était décédée quatre jours plus tard.