Nintendo Switch : comment fonctionnent les manettes en une image
Les manettes de la Nintendo Switch étaient au cœur de la vidéo de présentation de la console. Si on ne sait pas encore tout sur la machine, on connaît en revanche les possibilités offertes par les contrôleurs grâce à une image donnée par Nintendo qui résume tout.
Une image qui en regroupe plusieurs en mosaïques. L’occasion de distinguer ce que Nintendo a baptisé les “Joy-Con” et la manette pro classique. Accrochez vous, on va essayer de vous expliquer le plus simplement possible les différentes manières de jouer avec la Nintendo Switch :
- La manette pro classique pour jouer à la Switch qui est sur son dock
- Les deux Joy-Con sur le “Joy-Con Grip” pour former une manette lorsque la Switch est sur son dock.
- Les deux Joy-Con accrochés de chaque côté de la console en mode tablette.
- Une manette Joy-Con dans chaque main en mode tablette
- Un Joy-Con chacun pour jouer sur une ou deux console Switch (multijoueurs à deux ou quatre).
Il est également possible de jouer en multijoueurs local avec une console chacun de manière plus classique. Maintenant, on comprend mieux pourquoi Nintendo a fait le choix de simplement expliquer le concept de sa console dans la première vidéo de la Switch qui dure trois minutes.
Nous avons tout de même encore des doutes sur le jeu à plusieurs sur une seule console avec un petit Joy-Con chacun. Si quatre boutons et un joystick peuvent suffire pour jouer à Mario Kart, on reste plus dubitatif sur des titres comme NBA2K17 qui fait partie des premiers jeux présentés sur la Nintendo Switch. Qu’en est-il du confort du contrôleur et de la jouabilité ?
L’idée nous semble très bonne et la possibilité de jouer aux mêmes jeux chez soi et en mobilité est une promesse que personne n’a jamais vraiment réussi à tenir. La Switch pourrait donc être la première à réussir ce tour de force grâce à un processeur Nvidia Tegra custom intégré qui délivre suffisamment de puissance. On a maintenant hâte d’avoir des réponses à toutes les autres questions que l’on se pose.